Salut à tous !
Je m'appelle Wilfrid MAMA, Willy pour les amis.
Je suis au Niger, un pays en Afrique au sud du sahara dont la Capitale est Niamey. Ce qui fait la particularité de mon pays, c'est qu'il abrite le plus beau désert au monde : le Ténéré.
Je suis journaliste. Le web, je m'y suis intéressé depuis 1998 quand mon journal (Journal Alternative) avait bénéficié, dans le cadre d'un partenariat avec Alternatives Canada, d'un site Internet (www.geocities.com/alterniger/) que Saïdou Arji (journaliste, cinéaste réalisateur), Marie-Claude Millet (stagiaire canadienne envoyée au Niger) et moi avons créé, avec l'assistance technique de cette dernière.
Aujourd'hui, avec les différents stages et formations, non seulement mon site web a beaucoup évolué (http://www.alternative.ne), mais surtout j'en ai créé d'autres et aidé plusieurs personnes à en créer et en assurer la gestion.
Occupations actuelles :
• Chargé de formation à la Maison de la Presse de Niamey
• Prof de PAO à l'Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC - Niamey)
• Secrétaire de Rédaction au journal Alternative et Chef de projet Web du Groupe Alternative Niger.
Mes coordonnées
Tél : 00227 96 96 56 21
Emails :
wilfrid@cooperation.net
wilfrid.m6@gmail.com
willy_alter@yahoo.fr
Mes sites web :
www.medianiger.org
www.alternative.ne
Le site www.médianiger.org est le résultat d’un programme de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) et du Réseau des journalistes pour les droits de l’Homme (RJDH – Niger). Il vise à fournir une information indépendante, fiable et de qualité sur le secteur des médias et de la communication à l’attention d’un public national, régional et international.
L’objectif aujourd’hui visé est de faire de Médianiger.org le portail de la presse nigérienne dans son ensemble, et de le mettre à la disposition de la Maison de la Presse, afin qu’il soit le reflet des médias du Niger.
Pour le site www.alternative.ne, pour en savoir plus, voir qui sommes nous ?
BILAN...
La formation "Managers africains de sites web d'information" suivie du 3 au 21 décembre 2007 à Lille et Paris (France), a été pour moi l'occasion de découvrir davantages ce qu'est la gestion d'un site web, surtout d'information. Inutile de m'attarder sur l’environnement de travail qui était très agréable avec une salle de formation bien équipée. Chaque participant disposait d’un poste de travail avec une connexion Internet permanente.
De l’animation éditoriale des sites web d’information, en passant par la dimension multimédia du web, l'écriture sur le web, les contenus et les différents formats du web, ainsi que l’organisation d’une rédaction web, la formation "Managers africains de sites web d'information" a été une formation très pratique, qui a doté les participants d'outils et de techniques nouvelles pour améliorer leurs sites web.
Il y a aussi ces confrères Algériens qui étaient venus en formation en même temps que nous, mais surtout cette visite au Club de la Presse Nord-Pas-de-Calais où les responsables, malgré leurs multiples occupations, ont accepté de nous rencontrer pour échanger. Nous avons été bien accueillis et édifiés sur beaucoup d'aspects, dont la création, le financement et le fonctionnement de ce Club de la presse.
Ah, j'allais oublier, le froid également, en cette fin d'année, était de la partie, surtout dans la région Nord (Lille) de la France.
PERSPECTIVES
L'environnement actuel
Le Niger est un pays où l'appropriation des NTICs, notamment dans le secteur des médias, tarde à prendre de l'envol. Sur la vingtaine de titres qui paraissent actuellement régulièrement, seuls deux journaux - "Le Républicain" et "Alternative" - ont leurs propres sites. En dehors de l'office de radiodiffusion et télévision du Niger (ORTN), même le quotidien gouvernemental n'a pas son propre site. Pour lire les autres journaux nigériens, il faut aller sur d'autres sites hébergés hors du Niger, notamment des sites commerciaux ou touristiques qui publient leurs contenus en pdf. Cet état de fait, constitue un gros handicap pour ces journaux qui, indirectement, sont dépendants de leur hébergeur car ne peuvant pas gérer directement leur propre contenu en temps réel. Quant aux radios et télévisions privées du Niger, aucune d'entre elles ne dispose d'un site web personnel, et n'est présente sur le web.
De la nécessité de formation
Au vu du retard accusé par les médias du Niger sur le web, il est impératif d'amener les confrères nigériens à saisir les multiples opportunités que leur offre le web, notamment en les amenant à comprendre la nécessité d'avoir son propre site web ou à défaut, un blog. Ceci implique l'organisation d'ateliers ou de stages de formations par la Maison de la Presse qui est le centre fédérateur de tous les organes de presse aussi bien du public que du privé.
Pour ma part, j'estime qu'une restitution de tout ce que je viens d'apprendre au cours de la présente formation à mes confrères, constituerait déjà un grand pas vers cette nécessité de formation.
Aussi, je proposerai à partir de cette formation, à l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC), de penser à intégrer dans son programme de formation, la création d’une section «Journalisme en ligne». Afin que les diplômés qui y sortent soient davantage mieux outillés en la matière, une fois sur le terrain.
Je suis au Niger, un pays en Afrique au sud du sahara dont la Capitale est Niamey. Ce qui fait la particularité de mon pays, c'est qu'il abrite le plus beau désert au monde : le Ténéré.
Je suis journaliste. Le web, je m'y suis intéressé depuis 1998 quand mon journal (Journal Alternative) avait bénéficié, dans le cadre d'un partenariat avec Alternatives Canada, d'un site Internet (www.geocities.com/alterniger/) que Saïdou Arji (journaliste, cinéaste réalisateur), Marie-Claude Millet (stagiaire canadienne envoyée au Niger) et moi avons créé, avec l'assistance technique de cette dernière.
Aujourd'hui, avec les différents stages et formations, non seulement mon site web a beaucoup évolué (http://www.alternative.ne), mais surtout j'en ai créé d'autres et aidé plusieurs personnes à en créer et en assurer la gestion.
Occupations actuelles :
• Chargé de formation à la Maison de la Presse de Niamey
• Prof de PAO à l'Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC - Niamey)
• Secrétaire de Rédaction au journal Alternative et Chef de projet Web du Groupe Alternative Niger.
Mes coordonnées
Tél : 00227 96 96 56 21
Emails :
wilfrid@cooperation.net
wilfrid.m6@gmail.com
willy_alter@yahoo.fr
Mes sites web :
www.medianiger.org
www.alternative.ne
Le site www.médianiger.org est le résultat d’un programme de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) et du Réseau des journalistes pour les droits de l’Homme (RJDH – Niger). Il vise à fournir une information indépendante, fiable et de qualité sur le secteur des médias et de la communication à l’attention d’un public national, régional et international.
L’objectif aujourd’hui visé est de faire de Médianiger.org le portail de la presse nigérienne dans son ensemble, et de le mettre à la disposition de la Maison de la Presse, afin qu’il soit le reflet des médias du Niger.
Pour le site www.alternative.ne, pour en savoir plus, voir qui sommes nous ?
FORMATION WEB MANAGERS :
03 - 21 décembre 2007 (Lille et Paris)
03 - 21 décembre 2007 (Lille et Paris)
BILAN...
La formation "Managers africains de sites web d'information" suivie du 3 au 21 décembre 2007 à Lille et Paris (France), a été pour moi l'occasion de découvrir davantages ce qu'est la gestion d'un site web, surtout d'information. Inutile de m'attarder sur l’environnement de travail qui était très agréable avec une salle de formation bien équipée. Chaque participant disposait d’un poste de travail avec une connexion Internet permanente.
De l’animation éditoriale des sites web d’information, en passant par la dimension multimédia du web, l'écriture sur le web, les contenus et les différents formats du web, ainsi que l’organisation d’une rédaction web, la formation "Managers africains de sites web d'information" a été une formation très pratique, qui a doté les participants d'outils et de techniques nouvelles pour améliorer leurs sites web.
Il y a aussi ces confrères Algériens qui étaient venus en formation en même temps que nous, mais surtout cette visite au Club de la Presse Nord-Pas-de-Calais où les responsables, malgré leurs multiples occupations, ont accepté de nous rencontrer pour échanger. Nous avons été bien accueillis et édifiés sur beaucoup d'aspects, dont la création, le financement et le fonctionnement de ce Club de la presse.
Ah, j'allais oublier, le froid également, en cette fin d'année, était de la partie, surtout dans la région Nord (Lille) de la France.
PERSPECTIVES
L'environnement actuel
Le Niger est un pays où l'appropriation des NTICs, notamment dans le secteur des médias, tarde à prendre de l'envol. Sur la vingtaine de titres qui paraissent actuellement régulièrement, seuls deux journaux - "Le Républicain" et "Alternative" - ont leurs propres sites. En dehors de l'office de radiodiffusion et télévision du Niger (ORTN), même le quotidien gouvernemental n'a pas son propre site. Pour lire les autres journaux nigériens, il faut aller sur d'autres sites hébergés hors du Niger, notamment des sites commerciaux ou touristiques qui publient leurs contenus en pdf. Cet état de fait, constitue un gros handicap pour ces journaux qui, indirectement, sont dépendants de leur hébergeur car ne peuvant pas gérer directement leur propre contenu en temps réel. Quant aux radios et télévisions privées du Niger, aucune d'entre elles ne dispose d'un site web personnel, et n'est présente sur le web.
De la nécessité de formation
Au vu du retard accusé par les médias du Niger sur le web, il est impératif d'amener les confrères nigériens à saisir les multiples opportunités que leur offre le web, notamment en les amenant à comprendre la nécessité d'avoir son propre site web ou à défaut, un blog. Ceci implique l'organisation d'ateliers ou de stages de formations par la Maison de la Presse qui est le centre fédérateur de tous les organes de presse aussi bien du public que du privé.
Pour ma part, j'estime qu'une restitution de tout ce que je viens d'apprendre au cours de la présente formation à mes confrères, constituerait déjà un grand pas vers cette nécessité de formation.
Aussi, je proposerai à partir de cette formation, à l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC), de penser à intégrer dans son programme de formation, la création d’une section «Journalisme en ligne». Afin que les diplômés qui y sortent soient davantage mieux outillés en la matière, une fois sur le terrain.
1 commentaire:
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